Expositions & works
CONSTRUCTURES, Exposition personnelle, 2025
Double bubble, 2025 (pièce de gauche) peinture acrylique 5m x 70 cm
Sans titre, 2024 (pièce de droite), photographie numérique 130 cm x 70 cm
Ces corps sans attraction, 2025 (sculpture au centre), bois, peinture, caoutchouc, 2m x 10 m
Double bubble, 2025 (pièce de gauche) peinture acrylique 5m x 70 cm
Sans titre, 2024 (pièce de droite), photographie numérique 130 cm x 70 cm
Ces corps sans attraction, 2025 (sculpture au centre), bois, peinture, caoutchouc, 2m x 10 m
Sans titre, 2024
Photographie argentique, tirage numérique
130 cm x 70 cm
La photographie d’une devanture fermée, au Maroc, dédoublée par un effet de miroir, ouvre un espace imaginaire, qui dépasse la nostalgie liée à l’urbanisation massive. Texte de Xavier Bourgine
Vue d’ensemble de CONSTRUCTURES, exposition personnelle, 2025
The legitimate space, 2025, (sculpture à gauche) metal, photographie, texte, 120 cm x 150 x 30 cm
Ces corps sans attraction, 2025 (sculpture au centre), bois, peinture, caoutchouc, 2m x 10 m
Constructure 1, 2025 (sculpture à droite) bois 120 cm x 160 cm x 3 cm
The legitimate space, 2025
Metal, photographie, texte
120 cm x 150 x 30 cm
The legitimate space, 2025, (sculpture à gauche) metal, photographie, texte, 120 cm x 150 x 30 cm
Ces corps sans attraction, 2025 (sculpture au centre), bois, peinture, caoutchouc, 2m x 10 m
Constructure 1, 2025 (sculpture à droite) bois 120 cm x 160 cm x 3 cm
Metal, photographie, texte
120 cm x 150 x 30 cm
La photo de ma grand-mère est montrée sur une forme en paravent. Comme une présence altérée.
Bois
120 cm x 160 cm x3 cm
Table et chaise. Les formes sont mises à plats. La chaise emboitée dans une table. La table suspendue au mur.
Constructure 1 fait partie d’une série de sculptures. Elle rejoue des scènes du quotidien pour les déjouer, s’en libérer.
Passages, 2025
Photographie, bois, métal
200 cm x 140 cm x 60 cm
Dans son installation Passages, une photographie de sa mère, visage occulté, fait écho, au sol, à une structure de seuil constituée de deux modules en métal supportant une barre de bois divergente.
Il faut accepter les déséquilibres et les chutes, risques légitimes des franchissements. Texte de Xavier Bourgine
Photographie, bois, métal
200 cm x 140 cm x 60 cm
Dans son installation Passages, une photographie de sa mère, visage occulté, fait écho, au sol, à une structure de seuil constituée de deux modules en métal supportant une barre de bois divergente.
Il faut accepter les déséquilibres et les chutes, risques légitimes des franchissements. Texte de Xavier Bourgine
Bois, papier et Tissu
60 cm x 80 x 2 cm
Cacher la définition, c’est laisser place à l’imagination. Cette pièce s’appuie sur l’idée d’échapper aux places que l’on doit occuper, aux statuts dictés par les normes et les attentes sociales.
Cacher la définition devient alors un geste de libération, une manière de suspendre les cadres pour laisser émerger d’autres possibles.
Double bubble, 2025
Peinture acrylique 5 m x 70 cm. Pièce in situ
Utilisé pour occulter, le store est un élément de notre quotidien. Dans cette pièce, je m’intéresse au sotre pour questionner l’ambiguïté du seuil. A travers le geste de déconstruction et de reconstruction Double bubble, pièce in situ, se dresse ici comme une échelle.
Peinture acrylique 5 m x 70 cm. Pièce in situ
Utilisé pour occulter, le store est un élément de notre quotidien. Dans cette pièce, je m’intéresse au sotre pour questionner l’ambiguïté du seuil. A travers le geste de déconstruction et de reconstruction Double bubble, pièce in situ, se dresse ici comme une échelle.
Photographie, tissu, bois
Dimensions variables
Entre la tristesse d’un achèvement et la promesse d’un renouveau, un happy ending invite à méditer sur la tension et la dualité de la ‘fin’. Renvoyant à la fois à un point d’arrêt et au seuil, elle évoque aussi le renouveau et le possible. Entre nostalgie du passé et espoir dans l’avenir, à chacun.e d’y projeter ses affects et ses désirs.
Photographie, bois, texte
Dimensions variables
L’ombre d’une étoile est une étoile est un echo à toutes les étoiles qui nous guident et qui nous inspirent. Dessins d’enfance ou tracés géométriques, l’étoile traverse les imaginaires. Elle est à la fois lien, direction, et point de départ. Ainsi, je propose une sculpture en fragments, dont la disposition dans l’espace permet de recomposer la forme d’une étoile. L’installation comprend cinq mo- dules, représentant les cinq pointes de l’étoile.
Tissu, lumières, roulettes, matériaux divers
2m x 1,5 m x 1m
Qui n’a jamais rêvé d’être transparent et de se glisser dans l’arrière-plan ? Qui n’a pas souhaité surprendre les chuchotements et fuir la soumission ? L’installation Faites comme si j’étais là est une présence amputée, un corps réduit à l’état d’objet et un objet privé de fonction. Cette pièce interroge la place : celle que l’on tient, que l’on occupe ou que l’on abandonne ; sur une chaise.
Faites comme si j’étais là semble fuir mais elle reste immobile.
Bois, métal, photographie, divers matériaux
3m x 2m x 2m
L’espace est comme masculin. L’homme orphelin. Partition 1, est un projet qui questionne comment nous concevons nos espaces et pour qui nous les pensons.
Sans titre, 2024 (pièce de gauche), plastique, laine, polystyrène 80 cm x 60 cm x 10 cm
Moussika samita, 2024 (pièce de droite), bois, 70 cm x 60 cm x 60 cm
Et si le jeu finissait par nous échapper ? Et s’il devenait cette chanson silencieuse qui résonne en nous ? Moussika Samita cherche à faire affleurer cet état intérieur.
Et si le jeu finissait par nous échapper ? Et s’il devenait cette chanson silencieuse qui résonne en nous ? Moussika Samita cherche à faire affleurer cet état intérieur.
Peinture, bois, photographie, divers matériels
5 m x 5 m x 3m
Cette installation réalisée dans le cadre d’une résidence reproduit le motif d’un échiquier. Elle fait partie d’une série de travaux, dont une performance
Protective module, 2023
Panneaux lumineux, papiers, photographies, plante
90 cm x 90 cm x 90 cm
Pensé comme un espace à soi, Protective Module se présente comme un espace minimum — une forme de refuge où le corps peut se retirer ou se protéger.
Sifr, exposition personnelle, 2023
Vue d’ensemble
Sifr signifie ‘zero’ en arabe. Sifr n’est ni un début ni une fin.